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4

Terme Definition
4:2:2 etc. (sous-échantillonnage

En matière de télévision numérique, les fréquences d’échantillonnage sont définies par des formules abrégées, qui ont, à plusieurs égards, un rapport assez éloigné avec le concept qu’elles décrivent.

Ces formules numériques ne sont pas des nombres absolus, mais expriment des rapports de fréquences d’échantillonnage ; un certain effort d’interprétation est donc nécessaire pour comprendre leur signification précise.

Le terme « sous-échantillonnage de la chrominance » fait référence à ces rapports de fréquence d’échantillonnage. La plupart du temps, les premiers chiffres expriment la luminance (Y) et les deux derniers la chrominance (à l’exception de 4:4:4 ou 4:4:4:4 abordés plus en détail ciaprès).

Le premier chiffre est quasi systématiquement un 4, signifiant que la luminance est échantillonnée une fois par pixel produit dans l’image. Dans quelques rares cas, une fréquence d’échantillonnage plus faible pourra être utilisée pour la luminance.

C’est le cas par exemple du HDCAM, qui a généralement recours au format 3:1:1. Le terme souséchantillonnage désigne l'utilisation d'une fréquence d’échantillonnage inférieure au nombre de pixels final.

Les deux chiffres suivants correspondent aux fréquences d’échantillonnage des composantes de couleur pure numérisée de Rouge-Y et Bleu-Y, intitulées Cr et Cb. Selon le principe télévisuel exploitant les limites de perception de l’oeil humain dans le domaine de la couleur pure, les coupes permettant de réduire la quantité de données sont généralement effectuées au niveau de la chrominance plutôt qu’au niveau de la luminance.

Le format d’échantillonnage le plus couramment utilisé en studio est le 4:2:2 : sur chaque ligne, la fréquence d'échantillonnage des deux composantes de couleur est deux fois moins élevée que la fréquence d'échantillonnage de luminance.

Le format 4:1:1, utilisé par certains formats DV et par le DVCAM, effectue, sur chaque ligne, un échantillonnage de Cr et Cb tous les 4 points d’échantillonnage de Y. Il permet néanmoins d’atteindre un niveau de détail de chrominance supérieur au PAL ou au NTSC.

On peut également raisonner de la façon suivante : si on effectue un sous-échantillonnage horizontal de la chrominance, comme c’est le cas en 4:1:1, la même opération réalisée dans le sens vertical devrait, en toute logique, permettre une répartition plus uniforme des informations de couleur. Ainsi, au lieu d’échantillonner Cr et Cb sur la même ligne, l’échantillonnage de Cr s'effectue sur la première ligne et celui de Cb sur la deuxième.

La fréquence d’échantillonnage augmente alors sur chaque ligne pour passer à une valeur Y sur deux. Ce type de procédé est appelé échantillonnage 4:2:0 (soit 4:2:0 sur une ligne et 4:0:2 sur la suivante) utiliséen MPEG-2 et dans la plupart des processus de compression JPEG.

En règle générale, il est conseillé d’associer aux images un signal clé (signal alpha). Pour synthétiser, une image clé est une image complète dont on n’a gardé que les valeurs de luminance. Il est donc logique d’ajouter le chiffre 4 à la formule ; on parle alors de format 4:2:2:4. Techniquement parlant, le 4:4:4 peut correspondre à un échantillonnage complet du RVB ou, beaucoup plus rarement, des signaux des composantes Y, Cr et Cb.

Si un canal clé est associé au RVB, on parle alors de codage en 4:4:4:4. Dans certaines situations, des techniques non standard seront plus indiquées, telles que le sur-échantillonnage, qui permet une amélioration de la qualité d’image, à condition d’être traité correctement.

Vous pourrez voir dans ce cas des formats de codage du type 8:8:8, correspondant à deux échantillonnages par pixel dans le cas du RVB.

Ce rapport d’échantillonnage est utilisé aussi bien en SD que pour la vidéo haute définition. Même si la taille d’échantillonnage est généralement 5,5 fois supérieure, le format 4:2:2 reste le plus largement répandu en studio HD.

Pourquoi le chiffre 4 ? En toute logique, le premier chiffre devrait être un 1, qui représenterait une relation d’équivalence avec les pixels de 1:1, mais les normes télévisuelles restent largement tributaires des formats existants. En effet, au début des années soixantedix, les premières tentatives de numérisation de signaux de télévision portaient sur des formats PAL et NTSC codés.

Dans un cas comme dans l’autre, la fréquence d’échantillonnage devait nécessairement être calquée sur celle de l’onde sousporteuse couleur, elle-même régie par un rapport fixe du nombre de lignes/fréquences d'images. En NTSC, la fréquence du signal de sous-porteuse équivaut à 3,579545 MHz et celle du standard PAL-I à 4,43361875 MHz. En comparaison, l’échantillonnage des systèmes numériques équivaut généralement à 4 fois le signal de sous-porteuse NTSC ou 3 fois le signal pour le PAL, soit respectivement 14,3 et 13,3 MHz.

Une nouvelle étape déterminante a ensuite été franchie avec l’apparition de la vidéo à composantes Y, B-Y et R-Y (valeur de luminance plus deux composantes de couleur pure, appelée également signal de différence de couleurs), simplifiant considérablement le traitement de toutes les opérations courantes effectuées sur les images (redimensionnement, lissage, conversions à diverses normes ou compression, entre autres).

La même logique a été conservée dans le cadre du développement de la norme d’échantillonnage pour ce type de vidéo. Une certaine harmonisation entre les deux systèmes de balayage 525/60I et 625/50I utilisés dans les différents pays a également été introduite. Cette norme est connue sous le nom de norme UIT-R BT.601 pour l’échantillonnage SD. ‘601’ définit la fréquence d’échantillonnage de la luminance à 13,5 MHz (produisant 720 pixels par ligne active) et chaque signal de différence de couleurs à la moitié de cette fréquence, soit 6,75 MHz.

Et pour la petite histoire, on s’aperçut un beau jour que cette valeur de 13,5 MHz était quasiment identique aux 14,3 MHz équivalent à 4 fois le signal de sous-porteuse du NTSC. En poussant un peu plus loin le raisonnement, il aurait été facile d’établir une correspondance encore plus proche entre cette fréquence de 13,5 MHz et la multiplication par 3 du signal de sous-porteuse du standard PAL, ce qui aurait permis de simplifier largement le jargon pour le moins complexe utilisé actuellement. Voilà pourquoi ce nombre qui aurait pu être un 3 et aurait dû être un 1 est devenu par convention un 4.

En haute définition, les fréquences d’échantillonnage étant 5,5 fois plus rapides que pour la SD, l’échantillonnage 4:2:2 largement répandu en studio équivaut en réalité à 74,25 MHz pour les valeurs Y et 37,125 MHz pour Cr et Cb.

 

4K

Le 4K correspond à un format d’images de production de films numériques de 3 072 lignes de 4 096 pixels chacune, soit quatre fois la définition du 2K. Chaque image comportant 32 Mo de données, la lecture et le traitement de rushes 4K en temps réel requièrent une station de travail puissante, sans compter un espace disque énorme. Malgré les défis techniques à relever, un nombre croissant de professionnels préfèrent utiliser le 4K dont l’avenir semble plus prometteur. En outre, il est possible de créer en 4K des prises d’effets pouvant être réinsérées, en toute transparence, dans un film 2K.

Les avantages indéniables du 4K en matière de coûts et d’utilisation laissent prévoir son développement en tant que format de mastérisation numérique, aux dépens du 2K.

4K et Ultra HD (UHD)

4K :
Le terme 4K est utilisé dans le cinéma pour qualifier une définition de 4096 × 2160, soit un total de 8,8 millions de pixels.
Il s'agit donc de la résolution originelle du 4K, basée sur un autre standard de diffusion du cinéma numérique : le DCI 2K. Le 4K arbore donc deux fois la résolution verticale et deux fois la résolution horizontale du DCI 2K et permet l'utilisation de plusieurs ratio d'images.

Le (faux) 4K Ultra HD
Le 4K UHD adopte une résolution de 3840 pixels pour 2160 lignes. Soit un total de 8,3 Megapixels pour un ratio 16:9.
L'image est donc strictement quatre fois plus définie qu'une image Haute Définition 1080p et est destinée à une pleine compatibilité avec les formats d'écrans actuels. C'est cette définition que la Consumer Electronics Association a tenté de renommer en "UHD". L'emploi du terme "Quad HD" est aussi en vigueur.

La Consumer Electronics Association (CEA) a officialisé en octobre 2012 l'appellation Ultra High Definition (Ultra HD) pour les téléviseurs proposant une définition de 3840 x 2160 pixels et par la même occasion aurait dû enterrer définitivement le terme « 4K » utilisé à tort par les constructeurs de téléviseurs1.

Cependant cette recommandation n'a pas pu empêcher l'usage chaotique du terme 4K ne le renvoyant plus à sa résolution d'origine de 4096 pixels de large, exploitée presque exclusivement par le cinéma numérique à différents ratio; mais couvre désormais abusivement un vaste champ de résolutions équivalent plus ou moins quatre fois la résolution d'une image Full-HD. De même le terme UHD désigne aussi aujourd'hui des résolutions de l'ordre du 2K ou du 8K.

Voir aussi : 6G (SDI 6G)

et

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Enfin un outil qui permet de calculer l'espace disque en fonction de la compression utilisée. Vous choississez le format/codec : HDV, DNXHD 220 X, SD1:1, HD 1:1, etc..... <br>
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Vous pouvez aussi calculer en ligne l'espace utilisé par vos
productions, avce l'outil Avid ci dessous (et sans télécharger
gratuitement le Storage Calculator autonome de CTM Solutions) pour les
resolutions Avid.
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Vous pouvez aussi calculer en ligne l'espace utilisé par vos productions, avce l'outil Avid ci dessous (et sans télécharger gratuitement le Storage Calculator autonome de CTM Solutions) pour les resolutions Avid.
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Il vous est aussi possible de calculer en ligne l'espace utilisé par vos productions (pour les resolutions Avid) en cliquant ici.

 

 

sous-échantillonnage de la chrominance 4

En matière de télévision numérique, les fréquences d’échantillonnage sont définies par des formules abrégées, qui ont, à plusieurs égards, un rapport assez éloigné avec le concept qu’elles décrivent.

Ces formules numériques ne sont pas des nombres absolus, mais expriment des rapports de fréquences d’échantillonnage ; un certain effort d’interprétation est donc nécessaire pour comprendre leur signification précise.

Le terme « sous-échantillonnage de la chrominance » fait référence à ces rapports de fréquence d’échantillonnage. La plupart du temps, les premiers chiffres expriment la luminance (Y) et les deux derniers la chrominance (à l’exception de 4:4:4 ou 4:4:4:4 abordés plus en détail ciaprès).

Le premier chiffre est quasi systématiquement un 4, signifiant que la luminance est échantillonnée une fois par pixel produit dans l’image. Dans quelques rares cas, une fréquence d’échantillonnage plus faible pourra être utilisée pour la luminance.

C’est le cas par exemple du HDCAM, qui a généralement recours au format 3:1:1. Le terme souséchantillonnage désigne l'utilisation d'une fréquence d’échantillonnage inférieure au nombre de pixels final.

Les deux chiffres suivants correspondent aux fréquences d’échantillonnage des composantes de couleur pure numérisée de Rouge-Y et Bleu-Y, intitulées Cr et Cb. Selon le principe télévisuel exploitant les limites de perception de l’oeil humain dans le domaine de la couleur pure, les coupes permettant de réduire la quantité de données sont généralement effectuées au niveau de la chrominance plutôt qu’au niveau de la luminance.

Le format d’échantillonnage le plus couramment utilisé en studio est le 4:2:2 : sur chaque ligne, la fréquence d'échantillonnage des deux composantes de couleur est deux fois moins élevée que la fréquence d'échantillonnage de luminance.

Le format 4:1:1, utilisé par certains formats DV et par le DVCAM, effectue, sur chaque ligne, un échantillonnage de Cr et Cb tous les 4 points d’échantillonnage de Y. Il permet néanmoins d’atteindre un niveau de détail de chrominance supérieur au PAL ou au NTSC.

On peut également raisonner de la façon suivante : si on effectue un sous-échantillonnage horizontal de la chrominance, comme c’est le cas en 4:1:1, la même opération réalisée dans le sens vertical devrait, en toute logique, permettre une répartition plus uniforme des informations de couleur. Ainsi, au lieu d’échantillonner Cr et Cb sur la même ligne, l’échantillonnage de Cr s'effectue sur la première ligne et celui de Cb sur la deuxième.

La fréquence d’échantillonnage augmente alors sur chaque ligne pour passer à une valeur Y sur deux. Ce type de procédé est appelé échantillonnage 4:2:0 (soit 4:2:0 sur une ligne et 4:0:2 sur la suivante) utiliséen MPEG-2 et dans la plupart des processus de compression JPEG.

En règle générale, il est conseillé d’associer aux images un signal clé (signal alpha). Pour synthétiser, une image clé est une image complète dont on n’a gardé que les valeurs de luminance. Il est donc logique d’ajouter le chiffre 4 à la formule ; on parle alors de format 4:2:2:4. Techniquement parlant, le 4:4:4 peut correspondre à un échantillonnage complet du RVB ou, beaucoup plus rarement, des signaux des composantes Y, Cr et Cb.

Si un canal clé est associé au RVB, on parle alors de codage en 4:4:4:4. Dans certaines situations, des techniques non standard seront plus indiquées, telles que le sur-échantillonnage, qui permet une amélioration de la qualité d’image, à condition d’être traité correctement.

Vous pourrez voir dans ce cas des formats de codage du type 8:8:8, correspondant à deux échantillonnages par pixel dans le cas du RVB.

Ce rapport d’échantillonnage est utilisé aussi bien en SD que pour la vidéo haute définition. Même si la taille d’échantillonnage est généralement 5,5 fois supérieure, le format 4:2:2 reste le plus largement répandu en studio HD.

Pourquoi le chiffre 4 ? En toute logique, le premier chiffre devrait être un 1, qui représenterait une relation d’équivalence avec les pixels de 1:1, mais les normes télévisuelles restent largement tributaires des formats existants. En effet, au début des années soixantedix, les premières tentatives de numérisation de signaux de télévision portaient sur des formats PAL et NTSC codés.

Dans un cas comme dans l’autre, la fréquence d’échantillonnage devait nécessairement être calquée sur celle de l’onde sousporteuse couleur, elle-même régie par un rapport fixe du nombre de lignes/fréquences d'images. En NTSC, la fréquence du signal de sous-porteuse équivaut à 3,579545 MHz et celle du standard PAL-I à 4,43361875 MHz. En comparaison, l’échantillonnage des systèmes numériques équivaut généralement à 4 fois le signal de sous-porteuse NTSC ou 3 fois le signal pour le PAL, soit respectivement 14,3 et 13,3 MHz.

Une nouvelle étape déterminante a ensuite été franchie avec l’apparition de la vidéo à composantes Y, B-Y et R-Y (valeur de luminance plus deux composantes de couleur pure, appelée également signal de différence de couleurs), simplifiant considérablement le traitement de toutes les opérations courantes effectuées sur les images (redimensionnement, lissage, conversions à diverses normes ou compression, entre autres).

La même logique a été conservée dans le cadre du développement de la norme d’échantillonnage pour ce type de vidéo. Une certaine harmonisation entre les deux systèmes de balayage 525/60I et 625/50I utilisés dans les différents pays a également été introduite. Cette norme est connue sous le nom de norme UIT-R BT.601 pour l’échantillonnage SD. ‘601’ définit la fréquence d’échantillonnage de la luminance à 13,5 MHz (produisant 720 pixels par ligne active) et chaque signal de différence de couleurs à la moitié de cette fréquence, soit 6,75 MHz.

Et pour la petite histoire, on s’aperçut un beau jour que cette valeur de 13,5 MHz était quasiment identique aux 14,3 MHz équivalent à 4 fois le signal de sous-porteuse du NTSC. En poussant un peu plus loin le raisonnement, il aurait été facile d’établir une correspondance encore plus proche entre cette fréquence de 13,5 MHz et la multiplication par 3 du signal de sous-porteuse du standard PAL, ce qui aurait permis de simplifier largement le jargon pour le moins complexe utilisé actuellement. Voilà pourquoi ce nombre qui aurait pu être un 3 et aurait dû être un 1 est devenu par convention un 4.

En haute définition, les fréquences d’échantillonnage étant 5,5 fois plus rapides que pour la SD, l’échantillonnage 4:2:2 largement répandu en studio équivaut en réalité à 74,25 MHz pour les valeurs Y et 37,125 MHz pour Cr et Cb.

 

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