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Terme Definition
copie d'étalonnage
Copie du montage final destinée à l'examen avant création de la copie d'exploitation finale. Voir également copie de travail, copie, copie d'exploitation.
copie d'exploitation
Copie prête à être présentée au public. Les copies d'exploitation contiennent généralement les pistes image et son. Voir également copie d'étalonnage, copie de travail, copie, YUV.
copie de travail
Copie de film réalisée à partir du négatif original, utilisée pendant le montage pour créer une liste de conformation ou de points de montage pour l'assemblage de la séquence finale. Les copies de travail sont de manière générale bon marché et à lumière unique, et subissent une détérioration rapide due à leur manipulation intensive. Voir également copie d'étalonnage, copie, copie d'exploitation.
copie fenêtre
Voir incrustation.
copie standard
Positif contenant à la fois le son et l'image.
Correction colorimétrique
Autrefois, procédé de réglage chromatique visant à harmoniser les couleurs de plusieurs images ou à donner un aspect particulier à une image. En télévision, la correction des couleurs en HD et SD est devenue un procédé hautement sophistiqué pouvant inclure la retouche des couleurs secondaires, par exemple, sur des zones d’une image ou des gammes de couleurs spécifiques. Il est donc possible de changer la couleur d’une voiture dans une annonce publicitaire. En fonction des équipements, cette opération peut s’effectuer de manière interactive et en temps réel. En quelques instants, des ajustements précis permettent d’obtenir des résultats de grande qualité.
correction de couleurs au niveau de la s
Premier niveau de réglage de couleur (parmi les deux niveaux disponibles) en matière de correction de couleurs. Les corrections apportées au niveau de la source permettent généralement de rétablir les caractéristiques initiales des couleurs d'un clip ou d'assurer l'homogénéité des couleurs, clip par clip, de tous les clips dans une séquence. Voir également correction de couleurs au niveau du programme.
correction de couleurs au niveau du prog
Deuxième niveau de réglage de couleur (parmi les deux niveaux disponibles) en matière de correction de couleurs. Les corrections effectuées au niveau du programme apportent généralement une touche finale à une séquence terminée (réglage minutieux des valeurs de couleur, par exemple, pour donner plus d'éclat à un programme dramatique). Voir également correction de couleurs au niveau de la source.
correction de couleurs principale
Correction s'appliquant à chacune des parties d'une image vidéo ou à l'ensemble des parties d'une image vidéo comprises dans une plage de luminance précise. Voir également correction de couleurs secondaires.
correction de couleurs secondaires
Correction s'appliquant à des parties précises d'une image en fonction des valeurs de teinte et de saturation spécifiées. Ce type de correction vous donne la possibilité de remplacer les parties vertes d'une image par du jaune sans changer les autres couleurs de l'image. Voir également correction de couleurs principale.
correction des couleurs
Processus consistant à retoucher les caractéristiques des couleurs du matériel vidéo, visant à obtenir une représentation plus précise et plus fidèle des couleurs et d'assurer une meilleure homogénéité des couleurs, d'un clip à l'autre d'une séquence. Ce terme fait généralement référence aux différents réglages effectués, à l'aide d'un programme, sur la totalité de la vidéo, et non pas aux retouches de couleurs individuelles au niveau des effets.
correction des couleurs d'accompagnement
Réglage des couleurs d'une partie d'une image vidéo identifiée au moyen d'outils de dessin. Voir également correction de couleurs secondaires.
couleur
Couleur vidéo. Voir également chrominance.
Couleur d'incrustation
Couleur unie utilisée pour réaliser une incrustation
coupe
1. Transition instantanée entre une source vidéo et une autre. 2. Section d'une bande source ou d'une bande d'enregistrement.
coupe en amont
En montage, effectuer une coupure dans la fin de la scène précédente, souvent par erreur. En général, couper court.
coupe L
Voir montage par chevauchement.
couper
Enlever un segment donné d'une séquence de montage et joindre les extrémités résultantes pour clore l'intervalle.
courbe d'intensité
Ondes sonores représentées sous forme de graphe d'intensité relative du signal audio.
courbe de fréquences
Représentation de l'audio sous forme d'échantillon d'onde.
Cr
L'un des signaux de différence de couleur du système couleur des composantes de la norme vidéo NTSC. La formule du signal est : Cr = 0.701R (rouge) – 0.587V (vert) – 0.114B (bleu) Voir également Cb, Y.
Crénelage

Artefacts provoqués par un échantillonnage ou un traitement vidéo insuffisant. Conséquence de la nature pixellisée de l'image numérique, le crénelage spatial produit des contours en dents de scie sur les lignes courbes et diagonales de l'image, ainsi qu'un effet de scintillement sur les zones de détails. Ce phénomène est dû à des fréquences d'échantillonnage trop basses ou à une précision de traitement trop faible pour s'étendre aux détails. Le crénelage dit temporel se produit lorsque la vitesse de l'action est supérieure à la fréquence d'images. Un exemple classique : les roues du train qui semblent tourner en sens inverse.

Voir aussi : Anticrénelage

 

CSO
 Colour Separation Overlay, superposition par séparation des couleurs. Synonyme d’incrustation en chrominance. Voir aussi : Incrustation
cycle de trames
Séquence de trames vidéo requise pour la production d'un cycle complet de synchronisation des trames et images d'une part, et de la sous-porteuse couleur d'autre part. Le système NTSC requiert quatre trames, le système PAL en requiert huit.
D-cinéma et E-cinéma
Le terme D-cinema ou Digital Cinema, qui signifie cinéma numérique, désigne l’ensemble de la chaîne de production de la scène à l’écran, mais il caractérise plus précisément la distribution et la diffusion de ressources cinématographiques par des moyens numériques. Aucune règle absolue ne distingue le D-cinéma du E-cinéma, si ce n’est l’opinion selon laquelle les images de D-cinéma doivent être au minimum en 2K. Les formats SD et HD plus petits entrent dans la catégorie E-cinéma. Il n’en reste pas moins vrai que les projections HD impressionnent généralement le grand public.

Nouvelle norme de qualité des projections cinématographiques, la diffusion numérique se caractérise par sa fixité latérale et l’absence d’éraflures ou d’éclats. Contrairement à la pellicule, l’image numérique ne s’altère jamais et ce, quel que soit le nombre de projections. Les films numériques se distribuent sur disques ou sur réseaux, contrairement aux films 35 mm dont chaque copie, d’une valeur comprise entre 1 000 et 2 000 dollars, ne survit pas aux 200 projections. La production et la distribution des copies d’exploitation s’évaluent, pour les studios, à quelque 800 millions de dollars par an.

Le E-cinéma a pris de l’avance sur le D-cinéma et il a déjà prouvé sa viabilité comme format de support pour les principales fonctions.. Il facilite la production à bas prix d’annonces publicitaires locales et offre une plus grande souplesse en matière d’ajout de contenu télévisuel. Parmi les progrès récents ayant permis l’avènement de la projection numérique, il faut compter le développement rapide de la haute résolution et les projecteurs

numériques grand écran. Ces progrès s’articulent autour de trois technologies : D-ILA, DLP et SXRD. Les normes D-cinéma ont récemment fait l’objet d’une recommandation de la Digital Cinema Initiatives.

Voir aussi : DCI, DLP, D-ILA, SXRD

D-ILA
Acronyme de Direct-Drive Image Light Amplifier. Cette technologie utilise une puce CMOS réfléchissante à cristaux liquides permettant de moduler la lumière d’un projecteur numérique. Dans la course aux résolutions, JVC a fini par produire une matrice 2K (2 048 x 1 536) conforme à la recommandation SMPTE DC 28.8 qui préconise une résolution de 2 000 lignes pour le cinéma numérique.

La puce diagonale de 1,3 pouce contenant 3,1 millions de pixels répond numériquement au signal source. Le pas de 13,5 microns entre les pixels permet d’éliminer le bruit de bande et de produire ainsi des images claires, lumineuses et contrastées. Structure réfléchissante efficace, la technologie D-ILA permet de refléter plus de 93 % (ouverture) de la lumière des pixels.

Voir aussi : D-cinéma www.jvc.com/prof

 

D1, D5
Deux formats d'enregistrement de bande vidéo numérique conformes à la norme ITU-R 601 (CCIR-601) pour vidéo composite numérique 4:2:2 non comprimée. D5 est très similaire à D1 car, lui aussi, représente un format d'enregistrement numérique à composantes. Toutefois, la précision d'enregistrement de D1 est de 8 bits, tandis que celle de D5 est de 10 bits. Voir également D2, D3.
D1D1

Format de bande numérique dédié à l’enregistrement, sur des cassettes de 19 mm (1/3 pouce), de vidéo numérique SD à composantes et non compressée, 4:2:2, 525 et 625 lignes.

Lancé par Sony en 1987, ce format utilisait alors des processus haut de gamme pour lesquels la qualité multigénération nécessitait un contrôle permanent, et son prix de revient était relativement élevé. Aujourd’hui, il n’est plus très employé.

D2
Lancé en 1988 par Ampex, ce format permet d’enregistrer des vidéos NTSC ou PAL composites, numérisées et non compressées sur des cassettes de 19 mm (3/4 pouce). Utilisant un volume de données moindre que le D1, donc moins de bande, ce format paraissait efficace pour la rediffusion analogique. Toutefois, le signal était affecté par les restrictions d’origine du PAL et du NTSC. Il s’est avéré peu utile dans le cadre de la post-production sophistiquée. Un décodage aurait été nécessaire pour la transmission numérique. Ce format est peu employé aujourd’hui.
D2, D3
Deux formats d'enregistrement de bande vidéo numérique pour vidéo composite. La différence principale existant entre D2 et D3, réside dans le fait que D2 utilise une bande vidéo numérique de 3/4 de pouce, tandis que D3 en utilise une d'1/2 de pouce. Voir également D1, D5.
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