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"The Artist" rafle trois Golden Globes : une première pour un film français

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dujardin-et-berenice-bejo-dans-le-film-iconeMeilleur film, dans la catégorie comédie ou comédie musicale, meilleur acteur de comédie ou comédie musicale pour Jean Dujardin et meilleure musique de film pourLudovic Bource : The Artist a reçu trois trophées lors de la cérémonie des Golden Globes, organisée dimanche 15 janvier par l'Association de la presse étrangère à Hollywood.
Ce triomphe sans précédent pour un film français vient après le prix du meilleur réalisateur décerné à Michel Hazanavicius, l'auteur de The Artist, par l'Association des critiques de l'audiovisuel américain, jeudi 12 janvier. Le film muet (mais sonore), qui a été présenté au dernier Festival de Cannes, où Jean Dujardin avait reçu le Prix d'interprétation masculine, conforte ainsi sa position de favori pour les Oscars. Les nominations pour ces trophées, décernés par l'Académie des arts et des sciences du cinéma, seront annoncées mardi 24 janvier.
Trois jours plus tard, les Césars publieront à leur tour leur liste de nominations. En France, la saison des trophées reste moins frénétique. Elle a bien commencé pourThe Artist qui a remporté le Lumière du meilleur film, remis le 13 janvier par la presse étrangère à Paris.

Selon l'usage hollywoodien, c'est le producteur de The Artist, Thomas Langmann, entouré de l'équipe du film, qui a accepté le trophée du meilleur film. Il l'a dédié à son père, Claude Berri, rappelant que celui-ci, lauréat de l'Oscar du court métrage pour Le Poulet en 1966, n'avait pas eu les moyens de se payer un billet pour Los Angeles le jour de la cérémonie.

Plus tôt, en recevant son trophée des mains de Mark Wahlberg, Jean Dujardin s'était souvenu de l'agent qui lui avait prédit qu'il ne ferait pas de cinéma parce que son visage était "trop expressif". "Je n'y peux rien, mes sourcils sont indépendants", a expliqué l'acteur avant de conclure par une "citation de Douglas Fairbanks", forcément inaudible.

Le compositeur Ludovic Bource a rendu hommage à Bernard Herrmann, le musicien d'élection d'Alfred Hitchcock - dont la partition pour Sueurs froides est citée dans The Artist. Cet emprunt tout à fait assumé avait suscité une réaction furieuse de l'actrice Kim Novak, la star de Sueurs froides.

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Thomas Sotinel le monde.fr

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