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D

Terme Definition
Cinéma DLP
Il s’agit de l’application de la technologie DLP de Texas Instruments à la projection cinématographique. Une attention particulière a été apportée à ce format afin de produire des rapports de contraste et de luminosité élevés sur grand écran. Les Dark Chips ont joué un rôle important, en permettant de réduire de manière considérable la lumière réfléchie superficielle issue des micromiroirs numériques (DMD). Pour cela, il a fallu supprimer la propriété réfléchissante de l’ensemble des matériaux de base, à l’exception des faces des miroirs. En outre, une lampe de projection normale produit un niveau de lumière pouvant atteindre 12 ft/l sur un écran d’environ 18 mètres.

Voir aussi : D-cinéma, DLP

D-cinéma et E-cinéma
Le terme D-cinema ou Digital Cinema, qui signifie cinéma numérique, désigne l’ensemble de la chaîne de production de la scène à l’écran, mais il caractérise plus précisément la distribution et la diffusion de ressources cinématographiques par des moyens numériques. Aucune règle absolue ne distingue le D-cinéma du E-cinéma, si ce n’est l’opinion selon laquelle les images de D-cinéma doivent être au minimum en 2K. Les formats SD et HD plus petits entrent dans la catégorie E-cinéma. Il n’en reste pas moins vrai que les projections HD impressionnent généralement le grand public.

Nouvelle norme de qualité des projections cinématographiques, la diffusion numérique se caractérise par sa fixité latérale et l’absence d’éraflures ou d’éclats. Contrairement à la pellicule, l’image numérique ne s’altère jamais et ce, quel que soit le nombre de projections. Les films numériques se distribuent sur disques ou sur réseaux, contrairement aux films 35 mm dont chaque copie, d’une valeur comprise entre 1 000 et 2 000 dollars, ne survit pas aux 200 projections. La production et la distribution des copies d’exploitation s’évaluent, pour les studios, à quelque 800 millions de dollars par an.

Le E-cinéma a pris de l’avance sur le D-cinéma et il a déjà prouvé sa viabilité comme format de support pour les principales fonctions.. Il facilite la production à bas prix d’annonces publicitaires locales et offre une plus grande souplesse en matière d’ajout de contenu télévisuel. Parmi les progrès récents ayant permis l’avènement de la projection numérique, il faut compter le développement rapide de la haute résolution et les projecteurs

numériques grand écran. Ces progrès s’articulent autour de trois technologies : D-ILA, DLP et SXRD. Les normes D-cinéma ont récemment fait l’objet d’une recommandation de la Digital Cinema Initiatives.

Voir aussi : DCI, DLP, D-ILA, SXRD

D-ILA
Acronyme de Direct-Drive Image Light Amplifier. Cette technologie utilise une puce CMOS réfléchissante à cristaux liquides permettant de moduler la lumière d’un projecteur numérique. Dans la course aux résolutions, JVC a fini par produire une matrice 2K (2 048 x 1 536) conforme à la recommandation SMPTE DC 28.8 qui préconise une résolution de 2 000 lignes pour le cinéma numérique.

La puce diagonale de 1,3 pouce contenant 3,1 millions de pixels répond numériquement au signal source. Le pas de 13,5 microns entre les pixels permet d’éliminer le bruit de bande et de produire ainsi des images claires, lumineuses et contrastées. Structure réfléchissante efficace, la technologie D-ILA permet de refléter plus de 93 % (ouverture) de la lumière des pixels.

Voir aussi : D-cinéma www.jvc.com/prof

 

D1, D5
Deux formats d'enregistrement de bande vidéo numérique conformes à la norme ITU-R 601 (CCIR-601) pour vidéo composite numérique 4:2:2 non comprimée. D5 est très similaire à D1 car, lui aussi, représente un format d'enregistrement numérique à composantes. Toutefois, la précision d'enregistrement de D1 est de 8 bits, tandis que celle de D5 est de 10 bits. Voir également D2, D3.
D1D1

Format de bande numérique dédié à l’enregistrement, sur des cassettes de 19 mm (1/3 pouce), de vidéo numérique SD à composantes et non compressée, 4:2:2, 525 et 625 lignes.

Lancé par Sony en 1987, ce format utilisait alors des processus haut de gamme pour lesquels la qualité multigénération nécessitait un contrôle permanent, et son prix de revient était relativement élevé. Aujourd’hui, il n’est plus très employé.

D2
Lancé en 1988 par Ampex, ce format permet d’enregistrer des vidéos NTSC ou PAL composites, numérisées et non compressées sur des cassettes de 19 mm (3/4 pouce). Utilisant un volume de données moindre que le D1, donc moins de bande, ce format paraissait efficace pour la rediffusion analogique. Toutefois, le signal était affecté par les restrictions d’origine du PAL et du NTSC. Il s’est avéré peu utile dans le cadre de la post-production sophistiquée. Un décodage aurait été nécessaire pour la transmission numérique. Ce format est peu employé aujourd’hui.
D2, D3
Deux formats d'enregistrement de bande vidéo numérique pour vidéo composite. La différence principale existant entre D2 et D3, réside dans le fait que D2 utilise une bande vidéo numérique de 3/4 de pouce, tandis que D3 en utilise une d'1/2 de pouce. Voir également D1, D5.
D3

Proposé par Panasonic, le format D3 est similaire au format D2 : il est dédié à l’enregistrement de vidéos PAL ou NTSC composites. En revanche, le format D3 utilise des cassettes 1/2 pouce.

Il présente des avantages et inconvénients identiques au D2 et, en outre, il n’est plus très employé.

D5

Proposé par Panasonic en 1994, ce format permet d’enregistrer des vidéos numériques à composantes, 10 bits, 4:2:2, 525 et 625 lignes. Les enregistrements sont effectués sur des cassettes ? pouce, comme pour le format D3.

En tant que format de vidéo à composantes, il s’avère efficace en post-production. Plus économique que le D1, il reste largement employé aujourd’hui. Ce format peut également être utilisé pour les enregistrements HDTV via une compression de 4 ou 5:1 (voir HD-D5).

D5-HD

Employé depuis longtemps pour la gravure masterisation haute définition, ce format constitue la version HD du format d’enregistrement numérique sur bande magnétique pouce de Panasonic, le D5. Il permet d’enregistrer plus de deux heures de données sur une cassette D5 standard dans divers formats vidéo :

1080/60I, 1035/60I, 1080/24P, 720/60P, 1080/50I, 1080/25P et 480/60I.

Le D5-HD permet de modifier les enregistrements 24 Hz afin de les utiliser directement dans les applications 25/50 Hz, fonctionnalité qui s’avère précieuse lors de l’adaptation de films au marché européen. Huit canaux discrets d’audio numérique 24 bits/48 kHz permettent des mixages stéréo et 5.1.

La technologie Panasonic réduit le débit de données vidéo numérique à composantes HD-SDI 4:2:2 brut, jusqu’à 1 240 Mb/s, grâce à un procédé de compression propriétaire.

Le format D5-HD permet en outre de compresser la vidéo selon un rapport de 4:1 (en mode 8 bits) ou de 5:1 (en mode 10 bits). À propos des formats d’enregistrement vidéo haute définition, voir aussi :

http://www.panasonic.com

http://videoexpert.home.att.net

  • 1920x1080 (full frame 16x9)
  • 1280x720 (full frame 16x9)
  • Square pixel
  • 1080i and 1080p, 720p
  • 23.98, 24, 25, 29.97, 30, 59.94 (in 720p) fps
  • Component
  • 4:2:2 chroma sampling
  • 8 or 10-bit
  • DCT compression at 4:1 (intrafield)
  • 235 Mbit/sec (bit rate)
  • 8 audio channels

 

D6

Le format de bande D6 utilise une cassette de type D1 de 19 mm pour enregistrer 64 minutes de données HD non compressées dans la majorité des normes TVHD.

La fréquenceLe débit d’enregistrement monte jusqu’à 1 020 Mb/s, avec une luminance de 10 bits et une chrominance de 8 bits. 12 canaux d’audio numérique stéréo AES/EBU sont enregistrés. Un seul magnétoscope D6 existe actuellement sur le marché : VooDoo de Thomson.

Il est utilisé pour convertir des productions cinématographiques en cassettes vidéo.

D7-HD

Voir DVCPRO HD

DAE Digidesign Audio Engine
Marque d'Avid Technology, Inc. Application chargée de gérer les modules externes AudioSuite.
Dark chip

Voir Cinéma DLP

DAS


Direct Attached Storage. Stockage à connexion directe sur le serveur (un disque dur par exemple)


DAT
bande audionumérique. Format d'enregistrement audio numérique utilisant une bande magnétique de 3,8 mm de largeur logée dans une cassette en plastique.
DCDM (Digital Cinema Distribution Master
original de distribution
contenant toutes les données pour une projection (images, sons, soustitres).
A partir du DCDM, un DCP (compressé et crypté) et une clé
primaire sont fabriqués.

DCI
Fondée en 2002 par un groupe de grands studios hollywoodiens, Digital Cinema Initiatives a établi une norme ouverte garantissant un haut niveau de performances techniques, de fiabilité et de contrôle de qualité en matière de cinéma numérique.

Achevée en 2005, cette norme est actuellement mise en application par plusieurs fabricants. Parmi ses nombreuses recommandations, notamment sur la sécurité, la norme préconise l’utilisation des formats d’image 2K et 4K, ainsi que la compression JPEG 2000. www.dcimovies.com

 

DCI (Digital Cinema Initiative) :
DCI (Digital Cinema Initiative) : société fondée par 7 studios
hollywoodiens, afin de concevoir les spécifications techniques pour le
système d’exploitation numérique.n
DCP (Digital Cinema Package)
copie numérique d’exploitation. Jeux de
fichiers compressés et cryptés envoyé aux salles.

DCT

Discrete Cosine Transform (transformation en cosinus discrets). Cette opération constitue la première étape de nombreux procédés de compression vidéo numérique, notamment la compression JPEG, MPEG-2 et MPEG-4.

Elle consiste à convertir les blocs de 8 pixels de côté des images pour les retranscrire sous forme de fréquences et d'amplitudes. Les données obtenues ne sont pas forcément réduites. En revanche, une fois traitées, les informations deviennent compressibles. Plus la fréquence augmente, moins les détails de faible amplitude sont visibles. Les coefficients sont progressivement réduits, souvent jusqu'à atteindre une valeur nulle, de manière à correspondre à la taille de fichier requise par image (débit constant) ou au niveau de qualité souhaité.

Ce processus de réduction, connu sous le nom de quantification, effectue la compression des données. Pour les applications d'enregistrement magnétique, la taille de fichier est fixe et le procédé de compression doit pouvoir occuper l'espace disponible sans dépasser le seuil limite. Ceci explique pourquoi le taux de compression ne constitue pas en soi une indication suffisante pour déterminer la qualité de l'image.

La transformation DCT intervient au sein d'une image et constitue par conséquent une compression intra-image (image I). Ce type d'opération s'inscrit dans le procédé de compression le plus utilisé à l'heure actuelle dans le secteur télévisuel.

Voir aussi : AVR, Taux de compression, DV, JPEG, MPEG-2, MPEG-4

de diffusion
Bande résultant du montage. Programme final.
Débit

Le débit et la quantité de données transmisses durant un espace de temps.

Généralement exprimé dans le monde IT/Audiovisuel en Mbits/sec ou Mo/sec. / Mega bits par seconde, ou en Méga octets par seconde ( 1Mo = 8Mbits).

Largeur/Width pixels x Hauteur pixel x Pixel Byte Size (8bit/10bits/16bits, etc...) x
Cadence-Frame rate (24,25,50,etc...) / 1024² = Débit en MB/sec ou Mo/sec 

MB/sec = Mo/sec / les Mbits/sec sont par contre différents des MB/sec (1MB ou 1Mo est équivalent à 8Mbits)

voir aussi bande passante : Bande passante - Bandwidth

 

décalage de l'image
Méthode de repérage d'une image particulière d'un groupe, identifiée par le numéro de bord sur un morceau de film. Le décalage d'image + 12 désigne, par exemple, la douzième image à partir de celle repérée par le code de bord.
décibel (dB)
Unité de mesure du niveau de volume audio.
décollement du niveau de noir
Point de référence du signal vidéo, le point le plus noir de l'image visible. Voir également point noir, table, forme d'onde.
décomposer
Créer des master-clips plus courts à partir du matériel monté et inclus dans la séquence uniquement.
Démagnétiser
Démagnétiser (effacer) tout le matériel enregistré sur une bande magnétique vidéo, une bande audio ou l'écran d'un moniteur couleur.
dernière image
Dernière image du clip d'un film ou d'un segment de vidéo.
dérushage
Liste d'informations relatives à une bobine de film ou à une série de bande vidéo, généralement organisées par ordre chronologique.
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